Depuis 60 ans, Tartare® s’engage à offrir le meilleur de la nature, avec des recettes au goût frais et intense. Respecter la nature, c’est aussi proposer des emballages plus vertueux pour l’environnement. Pour Tartare®, réduire l’impact écologique de ses emballages est donc une priorité.
Quelles sont les actions initiées par la marque ces dernières années ?
* Calcul réalisé sur la base du nombre total de pots Tartare® 150g vendus en France en 2020.
** Calculs réalisés sur la base du nombre total de pots Tartare® vendus en France en 2022, par rapport à des pots 100% d’origine fossile.
Concrètement, en quoi consiste la démarche d’intégration de plastique d’origine végétale ?
L’intégration de matière d’origine végétale dans les emballages repose sur la méthode dite du « bilan massique », certifiée par l’organisme indépendant ISCC et reconnue à l’international. Cette dernière consiste à introduire 50% de matière d’origine végétale, qui est ensuite mélangée de façon aléatoire à du plastique dit « conventionnel ». Tartare® réduit ainsi son utilisation de ressources fossiles.
De quoi est composée cette matière d’origine végétale ?
La matière d’origine végétale présente dans les pots et couvercles Tartare® est issue de résidus/déchets d’huiles de plantes. Ces huiles, sont récupérées puis intégrées de manière aléatoire dans la composition des pots et couvercles Tartare®. Elles présentent des caractéristiques identiques au plastique conventionnel et sont donc aptes à préserver toute la fraîcheur et les saveurs Tartare®.
Cette démarche perturbe-t-elle la recyclabilité des emballages ?
Le mélange de matières n’impacte pas la recyclabilité des emballages Tartare®. En effet, les pots et couvercles sont toujours à jeter dans le bac de tri, et plus particulièrement dans la poubelle jaune.
Où sont fabriqués les emballages ?
Tous les pots et couvercles Tartare® sont fabriqués en France, dans le Jura, par des PME familiales françaises. Les opercules quant à eux, sont fabriqués dans le Pas-de-Calais.
Tartare® va-t-il s’arrêter là ?
Non, évidemment ! Jour après jour, leurs équipes d’experts sont à l’œuvre pour trouver des solutions d’emballages intégrant une part toujours plus importante de ressources renouvelables.